Sophie Guillot, Psychologue clinicienne

Bienvenue,
Une simple image, si elle est nouvelle, ouvre un monde.
Vue des mille fenêtres de l’imaginaire, le monde est changeant.
G. Bachelard
Le monde change et nous changeons aussi. Le changement, même désiré fait souvent peur, est souvent inconfortable. Il est comme un tourbillon fait d’angoisse et de désirs. Décider de laisser le passé derrière, d’agir dans l’instant présent, de rêver à demain semblent facile dans l’idée. Je vous propose que l’on y travaille concrètement ensemble afin de vivre votre vie de manière plus confortable et de manière durable.
Imaginez, juste un instant votre vie selon vos propres critères et aspirations ?
Imaginer, c’est s’absenter, c’est s’élancer vers une vie nouvelle.
G. Bachelard
Propositions thérapeutiques
thérapies brèves
hypnothérapies
Détection et accompagnement de la personne « surdouée »
« Surdoué », « Haut potentiel », « Haut potentiel intellectuel », « Zèbres », « Suréfficient intellectuel », beaucoup de termes pour désigner on ne sait plus vraiment qui ou quoi. Il n’est pas toujours facile de s’y retrouver. Et, on observe actuellement des clichés sur les personnes dites « surdouées » et comme pour tout cliché, une part de la réalité est occultée. Être surdoué(e) ne veut pas dire qu’on a toujours été le premier de la classe, et que la vie personnelle et professionnelle est rose tout le temps. Si certaines personnes sont brillantes, qu’elles ont réalisé un parcours excellent et sont heureuses, ce n’est pas le cas de toutes.
En consultation, je reçois le plus souvent des enfants et adultes en difficulté, qui ont une intelligence atypique mais une estime de soi si basse qu’elles n’ont même pas conscience d’être intelligentes et d’avoir du potentiel. Sans compter l’anxiété et les troubles dépressifs qui y sont souvent associés. Alors, ces personnes passent à côté d’opportunités de vie par méconnaissance de leurs aptitudes et/ou par manque de confiance en elles, parce qu’elles sont fatiguées d’avoir le « cerveau qui tourne en boucle ». Elles ont quelques fois consulté des professionnels de la santé qui ont diagnostiqué un trouble anxieux ou une dépression mais les traitements et l’aide apportés n’ont été de peu d’utilité ne traitant pas le fond.
Être surdoué(e), c’est effectivement avoir des aptitudes et des compétences qui se distinguent de celles de la population générale ; ces aptitudes, on va les mesurer avec des tests de QI (WISC-V et/ou WAIS-IV). Mais, être surdoué(e) ne se résume pas à un score obtenu à un test. C’est d’abord une façon différente d’être au monde : si explorer la sphère cognitive est essentiel, les sphères sensorielles (souvent exacerbées), émotionnelles (émotions intenses qui varient au cours d’une même journée) et relationnelles (relations quelques fois compliquées) sont aussi à investiguer pour obtenir un tableau complet de qui est cette personne et de comment elle fonctionne. Son évolution, son développement et son histoire de vie sont à considérer pour clarifier et identifier le sentiment de décalage ressenti la plupart du temps par ces personnes au fonctionnement atypique.
Pour faire un bilan et poser le diagnostic, il est souhaitable de se rencontrer préalablement au cours d’un rendez-vous clinique classique. Si je pense que les tests sont nécessaires alors nous pourrons les programmer ; La passation dure environ deux heures. Ensuite, nous nous reverrons pour la restitution du bilan et envisagerons un accompagnement thérapeutique ou pas selon vos besoins.
La plupart du temps, pour l’examen du bilan, je travaille avec Pierre Morin. C’est un spécialiste de la douance depuis plus de 20 ans. Il œuvre pour la reconnaissance et la prise en charge de la personne surdouée et assure la formation des professionnels qui s’y intéressent. Vous pourrez visiter le site de Pierre Morin ( www.acsis-pm.org ) qui est extrêmement bien documenté sur le sujet.
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